L’Université Populaire présente, samedi prochain à Salé, « L’alternative harakie pour faire face au renchérissement du coût de la vie : dix mesures pour protéger le pouvoir d’achat »
Aliae Riffi
Le parti du Mouvement Populaire a choisi de tenir, samedi prochain à Salé, la 13ème session de son Université Populaire pour débattre de « L’alternative harakie pour faire face au renchérissement du coût de la vie : dix mesures pour protéger le pouvoir d’achat ».
Cette session de l’Université Populaire, qui enregistrera la participation d’experts et d’acteurs politiques, universitaires et professionnels, sera l’occasion de discuter des soubassements de la crise économique et sociale actuelle et de la conjoncture difficile marquée par de le renchérissement du coût de la vie et ce, en vue de proposer des solutions et des alternatives pour surmonter la crise.
Il est à noter que M. Mohamed Ouzzine, Secrétaire général du parti du Mouvement Populaire et président fondateur de l’Université Populaire, n’a cessé de dénoncer l’indifférence du “gouvernement des compétences” à l’égard de la souffrance des citoyens et des citoyennes, en raison de la hausse des prix des différentes denrées alimentaires de base et des hydrocarbures, mettant en garde contre les répercussions de cette flambée démesurée des prix sur le coût du panier quotidien d’une large frange de citoyens et de citoyennes.
A cet égard, le Bureau politique du parti a consacré sa première réunion, lundi dernier, à l’examen de la situation économique et sociale critique résultant de la flambée des prix des denrées alimentaires et des différents biens et services, exprimant son profond étonnement face au mutisme suspect du gouvernement devant de cette crise aiguë avec sa profondeur économique et sociale et ses caractéristiques politiques, ainsi qu’à l’égard de l’incapacité structurelle et fonctionnelle du gouvernement à proposer des alternatives et des solutions.
Il s’est également dit étonné des justifications peu convaincantes avancées par le « gouvernement Akhannouch » avec ses trois composantes, au sujet de la hausse des prix de la volaille, des viandes rouges et de divers légumes et ce, après son échec à gérer la crise des hydrocarbures.