Une participation distinguée de la Jeunesse Harakie à un atelier organisé en Jordanie sur « les stratégies de soutien et de consolidation des organisations des jeunesses libérales dans le monde arabe »
Melle Siham Aouiza, membre du Bureau exécutif de la Jeunesse Harakie, a pris part, durant la période du 29 septembre au 03 octobre 2010, dans la capitale jordanienne Amman, à un atelier sur « les stratégies de soutien et de consolidation des organisations des jeunesses libérales dans le monde arabe ».
Lors de cet atelier organisé par le « Forum de la Pensée Libre » et la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, Melle Aouiza a présenté une intervention sur « les orientations libérales au Maroc : opportunités et défis », où elle a évoqué le contexte historique de la propagation de la pensée libérale au Maroc et ses référents qui trouvent leurs origines dans l’Islam qui prône les valeurs de liberté et de dignité de l’individu.
Melle Aouiza a souligné, par ailleurs, l’importance de l’unanimité des Marocains autour de la monarchie constitutionnelle comme système garantissant les libertés individuelles et collectives, précisant que le Maroc a opté, depuis l’indépendance, pour une politique économique libérale, fondée sur l’initiative privée.
Abordant la question des libertés individuelles et collectives, la membre du Bureau exécutif de la Jeunesse Harakie a affirmé que la liberté de presse est garantie, soulignant que le champ médiatique marocain a été marqué de surcroît, depuis l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au trône, par un élargissement important de la marge des libertés.
D’autre part, Melle Aouiza a évoqué les avancées réalisées sur la voie du rétablissement de la culture amazighe comme composante essentielle de l’identité marocaine.
Au volet économique, Melle Aouiza a mis l’accent sur l’importance de la conclusion par le Maroc de plusieurs accords de libre-échange et son encouragement de l’investissement national et étranger.
Melle Aouiza a conclu son intervention en soulignant que le libéralisme constitue pour le Maroc une option irréversible, tant politiquement qu’économiquement.
