الأخبار

M. Ouzzine est décidé à avancer sur la voie de la légalité et de l’application de la loi

La réalité de la politique au Maroc atteste de la véracité de l’adage “seuls les arbres fruitiers sont l’objet de jets des pierres”, car les pratiques de certaines élites ont consacré les modes de comportement adoptés consistant à « rester silencieux quand il s’agit des bras cassés », et à adresser des coups sous la ceinture  de quiconque œuvre en faveur d’une cause ou d’un objectif nobles.

M. Mohamed Ouzzine, ministre de la Jeunesse et des Sports, et il ne s’agit pas ici de juste valoriser un membre de la même famille politique, est de la trempe des hommes qui ne considèrent pas le poste comme une rente ou un endroit pour se reposer, en se satisfaisant d’adopter la politique du « laisser aller » pour gagner “l’approbation” de ceux qui demeurent silencieux quand il s’agit de défendre la vérité.

Au contraire, M. Ouzzine a choisi d’assumer sa pleine responsabilité s’agissant de l’application de la loi et de ne pas accorder de favoritisme aux lobbies de pression et aux hordes de la corruption qui nichent dans les armoires de plusieurs fédérations sportives et qui se sont payés certaines plumes à la solde qui ont fait de M. Ouzzine un leitmotiv quotidien dans le domaine de la diffamation, de la désinformation et de la diffusion des poisons de la haine.

Le quotidien « Al-Alam » et son cousin « Al-Ittihad Al-Ichtiraqui » constituent un modèle vivant de la manipulation d’une campagne à l’encontre du processus de réforme du secteur des sports et de la jeunesse conduit par M. Ouzzine. La dernière trouvaille de A. Abou Faïssal a été ce qu’on lui a susurré et qu’il a publié dans l’édition d’hier sous le titre « de bonnes nouvelles pour nous, les grands « victoires » de M. Ouzzine ».

« Juste des paroles » comme le journaliste a surnommé sa chronique, et les paroles signifient, dans notre patrimoine culturel, des déclarations non mesurées, alors que les faits révèlent quelque chose d’autre.

Les faits affirment que la seule et véritable victoire de M. Ouzzine réside dans le fait qu’il a fait prévaloir la loi sur la frivolité dans le traitement du sport en tant que chose publique, laissant toute latitude aux propriétaires du quotidien « Al-Alam », qui se sont succédé sur la direction de ce secteur et d’autres secteurs durant les années antérieures, de parler de leurs « victoires » que l’on peut résumer dans l’héritage du laisser-aller et de la frivolité, l’instrumentalisation du ministère à des fins partisanes étroites, le placement » des disciples de la « Zaouia de Bab Al-Had » dans les postes de responsabilité et de décision. Hallucinant  celui qui croit que la “Zaouia” n’a jamais exercé de pouvoir depuis l’indépendance.

Pour la mémoire et pour lever le brouillard avec lequel certains tentent de couvrir les yeux des Marocains, la loi que défend M. Ouzzine a joui de l’adoption au Parlement des représentants du parti dont le quotidien « Al-Alam » est la voix, avant de renier cette loi après que les « passions » aient choisi une autre voie.

Il semble donc clair que la position des propriétaires du quotidien « Al-Alam » de dirige dans le sens de retourner les tables sur les engagements du passé récent et d’adopter la politique “après moi le déluge”, après que les Marocains ont pris conscience que la cause de leurs malheurs réside dans le slogan “Le Maroc à nous et non pas à d’autres”. C’est en faveur de ces Marocains et de leurs victoires qu’œuvre M. Ouzzine. Il demeura sur la voie de la légalité, faisant prévaloir la loi sur tout intérêt individuel ou avantage pernicieux.

A bon entendeur, salut. A ceux qui n’apprécieraient pas cette réponse, nous rétorquons une parole du défunt poète Abdellah Rajiî « Salut, qu’ils s’abreuvent des mers ».

مقالات ذات صلة

زر الذهاب إلى الأعلى