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En réaction à ceux qui remettent en doute le parcours de M. Mohamed Moubdiî Les valeurs d’humilité et de proximité des gens sont adossées à une formation académique et à capital politique

Il n’était pas prévisible, voire imaginable, que la haine puisse pousser certaines âmes maladives jusqu’à remettre en doute les parcours professionnels des personnes et instrumentaliser les médias écrits et électroniques pour répandre les poisons de la haine.

Nous avons cru que la politique est éthique, indépendamment du degré du différend, qui est censé être exprimé et exercé en fonction des convictions de chacun, mais la prépondérance de la politique politicienne locale chez certains « perdants » les a poussé au mensonge et à la calomnie, parce qu’ils perçoivent, et c’est un fait, la réussite de l’autre comme prétexte pour justifier leur échec et leur frustration.

L’exemple « typique » de cette catégorie de fielleux a été illustré par la campagne qui pris pour cible M. Mohamed Moubdiî, ministre délégué chargé de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration et ce, immédiatement après sa nomination ; laquelle campagne a exploité à mauvais escient la modestie de l’homme et sa proximité des citoyens, et particulièrement des habitants de Fkih Ben Saleh, dont le visage a positivement changé depuis que M. Moubdiî assume la responsabilité de la gestion des affaires locales de cette ville.

Ceux qui ont fomenté cette campagne sordide ont oublié que M. Moubdiî ne vient pas du néant, mais qu’il a derrière lui un parcours académique et professionnel distingué, qu’il a consolidé par un riche parcours politique à travers sa forte présence en tant que militant haraki convaincu, élu communal, parlementaire durant plusieurs mandats successifs et leader au sein du parti du Mouvement Populaire.

Ces campagnes acharnées ne valent pas que l’on dévoile ceux qui les ont fomentées, car ils sont connus, mais nous leur répondons en rappelant le parcours de l’homme, laissant le jugement à l’opinion publique et à l’histoire et ce, à travers la publication d’un bref extrait de sa biographie ; une biographie qu’ont ignoré les âmes maladives :

M. Mohamed Moubdiî, qui a été nommé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI ministre délégué auprès du Chef du gouvernement en charge de la Fonction publique et la Modernisation de l’administration, est né en 1954 dans la ville de Fkih Ben Saleh.

Ingénieur en Chef des Mines, M. Mohamed Moubdiî est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Techniques Industrielles et des Mines d’ALES (France). Il a démarré sa carrière professionnelle au ministère de l’Energie et des Mines où il était chargé de la mise en place d’un plan pour l’électrification rurale.

En 1987, M. Moubdiî frère a été promu chef du Service des Affaires Générales et Administratives. En  1992, il a été nommé Secrétaire Général du Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER).

M. Moubdiî est membre fondateur du Comité Interministériel du Suivi des Programmes d’Electrification Rurale (COSPER) et Vice-président du Groupement d’Etudes et de

Recherches sur les Energies Renouvelables et l’Environnement (GERERE). Il est également membre fondateur du Programme International de Maîtrise de l’Energie (PRISME) pour la région Maghreb-Moyen Orient. Il a été désigné à Hararé (Zimbabwe) membre du Comité de Suivi du Programme Mondial Solaire, élaboré à l’initiative de l’UNESCO et du Comité Exécutif du Sommet des Chefs d’Etats.

Par ailleurs, il a été élu membre du Conseil d’Administration de l’Association du Développement

Régional “Ahmed Al Hansali”.

Au cours de sa carrière professionnelle, M. Moubdii a participé à la réalisation de plusieurs études et au suivi de projets socio-économiques. Il est également membre de plusieurs comités scientifiques, de séminaires et congrès internationaux et de comités de rédaction de revues et  d’ouvrages scientifiques et techniques, en plus de sa participation à plusieurs rencontres sur la gestion de l’énergie et sur le développement régional.

S’agissant de son parcours politique, M. Moubdiî a été élu en 1997 député parlementaire et Président de la Commission des Secteurs Sociaux et des Affaires Islamiques à la Chambre des Représentants.

Durant la même année, il a été également élu président du Conseil municipal de la ville de Fkih Ben Salah et assure actuellement la fonction de Vice-président de la Région Tadla-Azilal.

M. Moubdiî, qui maîtrise les langues arabe, française, anglaise et italienne, a été réélu député parlementaire durant les élections législatives des années 2002, 2007 et 2011. Il a assuré les fonctions de Président de la Commission de l’Intérieur, de la Décentralisation et des Infrastructures de base, de Président de la Commission des Secteurs Productifs et de Président du groupe parlementaire Haraki à la Chambre des Représentants.

Lors du scrutin 25 novembre 2011, M. Moubdiî, membre du Bureau politique du parti du Mouvement Populaire, a été aussi réélu député parlementaire et Président du groupe parlementaire Haraki à la Chambre des Représentants.

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