En clair« L’encre de la corruption » et « la gestion de la corruption »
De nombreuses interrogations légitimes sont soulevées au sujet du timing de l’orchestrationpar l’auteur de la chronique « Chouf Tchouf » dans le quotidien « Al-Akhbar » d’une campagne de propagande hostile et systématique contre les ministres du Mouvement Populaire, tout en focalisant surtout sur Mohamed Ouzzine, ministre de la Jeunesse et des Sports, ainsi qu’au sujet de la coïncidence de cette campagne avec les contacts établis entre le gouvernement marocain et la Confédération Africaine de Football (CAF) et lors desquels le Maroc est resté attaché à sa position souveraine fondée sur le principe de la précaution et de la protection de la santé des Marocains et des visiteurs de notre pays.
L’auteur de la chronique « Chouf Tchouf » a omis ou feint d’ignorer que le peuple marocain a l’intelligence et la présence d’esprit qui lui permettent de « saisir les choses au vol » et comprendre que ceux qui fomentent cette campagne enragée sont des parties dont « l’affaire a sauté » d’entre leurs mains du fait de l’attachement de notre pays à la demande de report de la Coupe d’Afrique des Nations (CAF) et qui ne se soucient pas que la santé des Marocains et plus précieuse et plus importante que tout gain financier ou « spectacle » qui pourrait se transformer en funérailles.
Du fait que nous sommes dans un Etat de droit et vu que cette campagne gratuite a pris pour cible en effet une expérience gouvernementale qui a parié sur la réforme et la lutte contre la prévarication, le ministre Mohamed Ouzzine a décidé de déposer une plainte auprès du parquet et a demandé au Chef du gouvernement d’ouvrir une enquête au sein du ministère de la Jeunesse et des Sports pour distinguer entre « l’encre de la prévarication » et « la gestion de la prévarication » et déterminer la partie qui consacre véritablement et effectivement la prévarication.
