Diffamer l’éthique des collègues est l’arme des lâches…Enfin, « l’épée » de l’hebdomadaire « Achourouk Al-Jadid » s’est brisée
Nous n’avions jamais pensé que la haine des responsables de l’hebdomadaire « Achourouk Al-Jadid » s’envenimerait au point d’atteindre le degré de transformer un débat politique, somme toute ordinaire dans toutes les sociétés démocratiques, en une attaque contre les personnes et en l’attribution de fausses déclarations à des dirigeants politiques responsables.
Après s’être trouvé dans une situation inconfortable, ayant échoué à être à la hauteur de notre style au sein du Mouvement Populaire, parti et journal, de réponse à ses « sorties » anarchiques, cet hebdomadaire a eu recours à un style que l’on peut qualifier le moins de « vulgaire ».
Eu égard au fait que nous appartenons, au sein du journal « Al-Haraka », à une école politique responsable qui a un poids sur la scène nationale, nous n’avons pas été entraînés par les méthodes viles pour réagir aux attaques répétées et injustifiées des promoteurs de l’hebdomadaire « Achourouk Al-Jadid », parce que nous respectons la déontologie professionnelle et nous respectons des collègues qui exercent dans cet hebdomadaire et avec lesquels une amitié nous a réunis quand ils ont travaillé et peaufiné leurs armes dans notre journal, qualifié de « virtuel » par le propriétaire de « l’épée brisée ».
Toutefois, nous tenons à clarifier certaines données relatives aux allégations colportées par Abelhafid Boussif dans sa chronique parue dans la dernière édition de cet hebdomadaire.
Ce dernier a tenté d’immiscer « l’entourage royal » lorsqu’il a fait référence à une expression qui n’a nullement été formulée lors d’une conférence que le Mouvement Populaire avait organisé durant le mois de Ramadan sur la question des alliances (les enregistrements sont disponibles et les participants sont toujours en vie).
Le Secrétaire Général du Mouvement Populaire, auquel l’hebdomadaire « Achourouk » avait attribué des propos qui ne sont pas les siens, avait affirmé que les alliances devraient être précédées de la réforme et de l’amendement des textes et qu’elles devraient être déclarées et connues des électeurs pour qu’ils puissent voter en connaissance de cause, avant d’ajouter que la situation politique exige, dans certains cas, que ces alliances ne soient pas hermétiques, en se préservant une marge de manœuvre non maîtrisée par les engagements antérieurs.
Nous saisissons cette occasion, puisque l’hebdomadaire « Achourouk » a tenté de dévaloriser notre tribune médiatique, pour rappeler aux promoteurs de cet hebdomadaire que le journal « Al-Haraka » a résisté pendant des décennies grâce à son sérieux, sa responsabilité et sa bonne gouvernance, alors que tout le monde se remémore encore la tragédie de ceux qui ont exercé dans un journal partisan qui a été mis en faillite en raison de sa mauvaise gestion, causant ainsi la dislocation de familles et le décès d’un collègue de douleur excessive.
Par ailleurs, nous avons choisi de ne pas réagir aux diffamations gratuites dont a été la cible notre collègue, le rédacteur en chef, de la part du propriétaire de « l’épée brisée », en vertu de notre sagesse et de notre responsabilité.
