Le Groupe Haraki à la Chambre des Représentants exprime sa satisfaction de l’amélioration du classement du Maroc dans des indicateurs internationaux hautement crédibles
Le Groupe Haraki à la Chambre des Représentants a exprimé, mardi dernier, sa satisfaction de l’amélioration du classement du Maroc dans de nombreux indicateurs internationaux hautement crédibles, affirmant que le dernier rapport de la Banque mondiale a relevé la distinction du Maroc dans le domaine de l’amélioration du climat des affaires “Doing Business” à travers son ascension de 16 rangs, en se hissant à la 71ème position mondialement après avoir occupé le 87èmerang en 2014.
Dans une intervention prononcée au nom du Groupe Haraki sur la question centrale de la séance mensuelle des questions orales relatives à la politique générale, consacrée au thème « amélioration du classement du Maroc dans les indicateurs internationaux », M. Nabil Belkhayat a affirmé que les rapports internationaux révèlent que le Maroc améliore son classement globalement dans ces rapports.
L’intervention du Groupe Haraki a considéré que le progrès accompli par le Royaume au titre de ces indicateurs est important pour l’image du pays en termes d’attraction des investissements, d’autant plus que ce progrès n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un travail soutenu du gouvernement.
Le président du Groupe Haraki à la Chambre des Représentants a poursuivi que le Forum économique mondial a révélé,dans son rapport annuel “Doing Business” sur l’indicateur de la compétitivité 2014-2015,que le Maroc a accompli un progrès important dans ce classement international en passant du 77ème au 72ème rang, gagnant ainsi cinq rangs dans ce classement mondial qui comprend 144 pays. Il est à noter que ce rapport a souligné la nécessité de prendre des mesures portant principalement sur l’amélioration de l’enseignement secondaire et supérieur sur les plans de la qualité et de l’accès, la réforme du marché du travail et l’amélioration de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication entre les entreprises et les individus. M. Belkhayat a précisé que le Maroc a été à la tête des Etats d’Afrique du Nord dans ce rapport et a occupé le 4ème rang au niveau du continent africain.
Le président du Groupe Haraki à la Chambre des Représentants a ajouté que le classement du Maroc dans plusieurs indicateurs internationaux est basé sur des données injustes, ajoutant qu’il « est vrai que nous avons accumulé des retards à cause de la mauvaise gestion dans des secteurs vitaux, tels la santé, l’éducation et la formation, mais la vérité qu’il est nécessaire de reconnaître aujourd’hui est que le Maroc a choisi la voie des réformes majeures, politiques d’abord, qui ont été traduites par les amendements apportés par la constitution du 1er juillet 2011.
L’intervention du Groupe Haraki s’est félicitée également des résultats des réformes majeures lancées par le gouvernement, notamment dans le domaine de l’allégement de la pression des charges de compensation sur le budget général et la réorientation des montants économisés vers l’investissement public,le développement des infrastructures,la réduction du déficit budgétaire,l’amélioration du taux de croissance et l’aide directe consacré à la scolarisation des enfants issus de catégories sociales vulnérables.
L’intervention du Groupe Haraki a considéré que la réussite de l’opération de rapatriement des fonds, des dépôts et valeurs mobilières à travers la contribution libératoire, prévue dans la loi de finances 2014, est un indicateur fiable de la confiance dont jouit désormais l’économie nationale.
L’intervention du Groupe Haraki a conclu en affirmant que le Maroc aujourd’hui, indépendamment de tout indicateur, émet des signaux forts dans tous les forums mondiaux et rencontres internationales, dont notamment le consensus national autour des causes nationales majeures, à savoir en particulier la conviction que nourrissent tous les acteurs du caractère unique, solide et fort du système politique marocain et sa capacité à surmonter les difficultés et relever les défis,au premier rang desquels rejoindre le groupe des pays émergents.