Le fiasco
Une fois encore,les fomenteurs du soi-disant « mouvement correctif » ont dû subi un fiasco lorsqu’ils ont invité les journalistes à une conférence de presse lors de laquelle ils avaient prétendu qu’ils « allaient dévoiler plusieurs surprises en faisant éclater « des dossiers et des incidents » que vit le Mouvement Populaire.
Dans une première, la coordination s’est dévoilée officiellement à travers l’alliance des leaders du « mouvement correctif » avec l’ex-secrétaire général de l’Association de la Jeunesse Harakie ; laquelle alliance regroupe des parties,dont les liens ne sont pas déclarés, mais qui ont décidé cette fois de s’unir et de former un « front unique » dans l’espoir de porter atteinte à la ténacité et à la stabilité du Mouvement Populaire.
Les organisateurs n’ont ménagé aucun effort pour pourvoir le financement nécessaire pour la tenue de cette conférence presse, ayant choisi l’un des plus prestigieux hôtels de la ville de Rabat pour abriter la conférence et l’entourer d’une aura spéciale.
Ainsi, et en dépit de tous ces préparatifs et sans polémiquer au sujet du contenu de la conférence qui a été couverte par les différents médias nationaux, le résultat auquel ont abouti la plupart des présents révèle l’échec des fomenteurs du « mouvement correctif » à convaincre les militants au sein du parti ainsi que l’opinion publique qui s’intéresse aux affaires partisanes « de leur projet politique » et de ce qu’ils revendiquent franchement.
En témoigne en tous cas le fait que toutes les interventions lors de la conférence n’ont pas apporté de nouveau. Bien au contraire, les « nouveaux leaders »ont péroré leurs discours hostiles à l’égard du parti et de ses dirigeants. Pire,leur haine et inimitié les ont poussé jusqu’à faire endosser la responsabilité du tragique accident enregistré sur la route nationale vers Tan-Tan au Secrétaire général du Mouvement Populaire en sa qualité de ministre de la Jeunesse et des Sports par intérim, ce qui révèle le summum d’insouciance auquel sont parvenus ces « nouveaux leaders ».
Enfin, il faudrait rappeler qu’aucun des “leaders” du soi-disant “mouvement correctif” n’a de relation aujourd’hui avec le parti. Ils ont été parmi des catégories privilégiées qui avaient assumé des responsabilités nationales au nom du parti à un certain moment et qui ont abandonné volontairement l’action politique, n’ayant pas participé ni aux élections locales,ni aux élections régionales ni aux élections parlementaires. Pire,ils ne sont même pas acquitté du devoir d’encadrement qui incombe à tout leader partisan.
Aujourd’hui, il s’est avéré que chacun de ces « leaders » du soi-disant « mouvement correctif » agit en fonction de ses caprices et de ses intérêts personnels et que rien n’unit tous ces individus à l’exception des intérêts personnels de chacun la série de cette falsification d’entre eux. Alors, qu’ils déclarent leurs intentions et qu’ils mettent un terme à cette pièce théâtrale de mauvais goût, à travers laquelle ils tentent de dévaloriser l’action politique aux yeux de la jeunesse de ce pays.
Un militant haraki et qui en est fier